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Channel: Commentaires sur : Le déculottage. Rituel maternel immuable avant-fessées
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Par : Laurent

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Le rituel du déculottage et en public, suprême honte!

Chez nous, il n’y avait pas de véritable rituel, mais une réalité : on nous baissait culotte et slip pour nous administrer la fessée, pour que ça fasse plus mal!

On évitait cependant d’associer notre soeur à la cérémonie, c’était frères d’une part, soeur d’autre part. En effet, on jugeait malvenu que notre petite soeur, beaucoup plus jeune que nous, nous voie ainsi. Mon frère et moi partagions la même chambre depuis sa naissance, lieu général des corrections, pas de problème entre garçons, et elle avait sa chambre individuelle pour les siennes…
Mais elle a pu quelques fois contempler notre intimité, quand la colère des parents faisait que la fessée arrivait sans prévenir. Et il lui arrivait souvent de venir nous regarder en cachette, dans l’encoignure de la porte de notre chambre. La coquine!


Par : nelly45

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Coucou !
Chez moi, le déculottage était systématique quand j’étais punie pour certaines bêtises comme insolence, impolitesse, mauvais résultats scolaires, retards pour rentrer à la maison… La jupe qui se retrousse et puis, intérieurement on se dit « non pas la culotte ! » , mais après quelques bonnes claques la culotte finit par descendre quand même… Pour moi, c’ était presque chaque fois à cet instant- là que les larmes coulaient sur mes joues et cela à tous les âges où j‘ai été fessée.
Bises, Nelly

Par : Louis

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Bonjour Chris, bonjour Nelly, bonjour à tous.

Pour ma part, ma mère déculottait souvent, mais pas systématiquement. De mémoire (je ne tenais pas de statistiques !) :
- quand j’étais en short, ma mère le baissait peut-être environ 1 fois sur 3, puis slip baissé environ 1 fois sur 2 ;
- quand j’étais en pantalon, celui-ci était baissé plutôt environ 3 fois sur 4, puis slip baissé environ 1 fois sur 2 ;
- à partir de 10 ans environ, le déculottage devenait de plus en plus fréquent, même en short ;
Le déculottage ou non dépendait de l’humeur et de l’intensité de la colère de maman, mais aussi bien sûr de la gravité de la faute ; il n’avait rien à voir avec le fait d’être en public ou en privé (autrement dit, maman déculottait parfois en public !).
Quand j’étais mis en position, pendant un très court instant, j’espérais toujours échapper au déculottage. Hélas ! quand je sentais ou voyais les doigts de maman passer sous l’élastique, ou dégrafer les bretelles ou ceinture, boutons, braguette, selon le cas, je commençais à hurler en demandant pitié ou pardon, c’était évidemment trop tard pour échapper à la cuisante punition.
Enfin, je vous invite à lire, sur ce blog, mon récit intitulé : « C’est quoi, Maman, DECULOTTEE ? » Je raconte justement ma première fessée déculottée.
Amicalement.
Louis

Par : celine1978

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J’imagine que cela ne devait pas être facile d’être fessé cul nu devant vos soeurs et que vous préféreriez quand c’était elle qui était cul nu devant vous. Encore moins à 16 ans. Avec mon frère et ma soeur, nous avons eu la chance qu’une fois pubère, nos parents ne baisse que le pantalon ou la jupe mais plus le slip.

Je n’ai jamais aimé le déculottage, non pas comme certaines copines par peur de montrer mes fesses ou ma zezette (nous sommes une famille naturiste), mais par la honte de se faire remettre au pas par un papa ou une maman qui montrent bien qu’ils étaient au-dessus de nous.
Pour mes copines c’était l’inverse. Je me souviens d’une qui m’a dit le lendemain d’une fessée, que son père l’avait envoyée à la cuisine cul nu pour aller chercher le martinet et qu’en revenant au salon son frère ne regardait que son sexe et que c’était trop la honte.

Par : Lascombes

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Pour répondre au témoignage de Sophie, ma compagne et moi élevons nos 3 filles « à l’ancienne » et toutes les 3 reçoivent la fessée déculottée si la situation le nécessite. Il faut dire que ces fessées sont peu fréquentes, en raison de Leur efficacité assurément. Aucune de nos filles ne s’est plainte. En tous cas, elles savent que les aimons beaucoup et que la fessée est toujours justifiée.

Par : cedric

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Bonjour Sophie, entièrement d’accord avec pour l’éducation des enfants. Aujourd’hui il y a trop de laisser-aller cela ne fait pas de mal de punir d’une bonne fessée cul nu à la main ou martinet en cuir. L’efficacité d’une fessée est largement supérieure à une privation quelconque.

Par : Dimitri

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Je partage moi-même ce besoin ou cette envie de revivre et de faire partager ses souvenirs de fessées. (Comme quoi ça nous à marqués pour longtemps).
Mais nous, nous qui avons vécu ça, pourquoi voudriions-nous le faire revivre à nos enfants? L’humiliation et la douleur. Le but n’est pas d’avoir des enfants obéissants, bien dressés, mais de faire des adultes intelligents et épanouis. Peut-être la tendresse, la douceur, l’éveil à la culture générale, sont moins efficaces qu’une enfance-adolescence jalonnée de coups de badine, de martinet pour un oui ou pour non, passée dans la crainte de se faire déculotter ? Et d’y repenser ensuite toute sa vie durant…

Par : celine1978

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Il ne faut pas non plus en abuser. Nous en donnant aussi quelques-unes (pas sur les fesses nues, je préfère m’arrêter à la culotte). A mon avis, cela doit être une punition exceptionnelle qui fait un peu peur. D’ailleurs, il suffit de dire, « attention ou c’est la fessée ! » pour bien souvent transformer des petits diablotins en petits anges.


Par : Dan

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Bonjour,

Pourquoi s’arrêter aux enfants ? Bien des parents devraient en recevoir aussi pour leurs erreurs ou leur comportement, à commencer par moi-même.
Malheureusement les femmes fesseuses de notre enfance se font de plus en plus rares et c’est bien dommage de perdre cette pratique qui a fait ses preuves depuis bien longtemps.

Par : Dan

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Bonjour, chère Amandine,
le déculottage, c’était surtout la honte d’être exposé. De savoir que tous les yeux sans exception allaient se tourner vers vos fesses pour scruter la montée de la rougeur, les premiers cris et les premières marques de main.
Dans un deuxième temps, c’est l’interrogation, sur l’intensité de la fessée, la durée, puis la fin de la punition au coin, les fesses nues et rougies, parfois en sanglotant avec les mains sur la tête.

Par : Sophie

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Ayant tous les deux reçus, mon mari et moi, une éducation stricte, c’est tout naturellement que nous faisons de même avec nos quatre enfants. Ceux ci reçoivent la fessée, toujours déculottée pour chacune de leurs bêtises. Et cela a du bon car, où que nous allions, les gens disent toujours qu’ils sont bien obéissants, respectueux et polis. Et c’est le but de cette éducation.

Par : Jacques Bouchard

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Très intéressant. Je fus moi-même souvent déculotté et fessé à la main et à la brosse à cheveux par ma mère. La brosse à cheveux, oh la la, ça claque ! Et à la « strappe » par mon institutrice. J’allais oubliezr la voisine et ma tante et 1 seule fois par la dame qui occupait avec sa famille le logement au-dessus du nôtre. J’ai déjà commencé à écrire quelques compte rendus de mes fessées d’ados

Par : ethyamidi

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Ah oui ce déculottage… Tenue requise et lenteur étudiée, surtout conserver la culotte après (ce qui augmente largement l’effet de la correction) sous les regards des filles qui n’étaient pas trop fières sachat fort bien qu’une incartade pouvait dénuder leur postérieur aussi bien que le mien…

Par : Emilie

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Je pense qu’effectivement plus de parents devraient faire comme vous aujourd’hui…
On aurait moins de délinquants !!
Bises,
Emilie.

Par : claude

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Bonjour CrisB. Merci pour ce beau récit qui donne à réfléchir sur l’utilité, voire la nécessite des châtiments corporels (mesurés évidemment!) pour l’éducation des adolescents,filles comme garçons. Vous décrivez merveilleusement l’importance du déculottage et cela devant vos soeurs. De même, l’attente voulue par votre mère pour transformer celle-ci en crainte, jusqu’à vous en »donner la chair de poule ». De même la mise au piquet après la correction. Mais il faut bien reconnaître que ces punitions,y compris au martinet, étaient bien méritées : mauvais comportement, mauvaises notes à l’école, sans doute dues à votre dissipation : autant de raisons pour vous corriger. En lisant votre récit,je ressens une profonde émotion, car il me renvoie à ma propre adolescence placée elle aussi sous la sévérité et l’affection. Oui, c’était dans les années 50/60 et à cette époque là vous n’étiez pas menacé d’une amende pour avoir corrigé un adolescent qui le méritait,comme c’est le cas aujourd’hui.Je ne comprends pas que les « pédagogues » contemporains s’obstinent à nier l’efficacité de ces bonnes vieilles méthodes. Elles ne m’ont pas, pas plus que vous je pense « traumatisé ». Par contre, en corrigeant mes défauts de caractère, (et ils étaient nombreux!),ils m’ont permis de devenir progressivement un adulte responsable et prêt à affronter les défis de la vie. C’est pourquoi je voue une éternelle reconnaissance pour mes parents, qui, jusqu’à un âge avancé, m’ont peu a peu forgé un caractère fort,même si pour cela, ils durent user de la fessée et du martinet. Cordialement. CLAUDE.


Par : Justin

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Bonsoir,
Le déculottage reste très gravé dans ma mémoire que se soit à la maison ou à l’école.Quand la punition m’était annoncée je savais parfaitement ce qui allait m’arriver et le pire était quand j’entendais cette phrase « mains sur la tête. »
Je m’en souviens parfaitement, c’était avant 70 en classe de CM2, pendant la récréation. J’eus un très vilain geste envers un autre élève et juste devant un surveillant. Il m’a sermonné et j’entendis la fameuse réplique: »mains sur la tête. » Je savais ce qui arrivait, un petit troupeau c’était formé autour de moi et je me rendais compte que le pion était en train de me déculotter. La fessée fit son oeuvre puis je fus envoyé au coin. Exposé les fesses à l’air quand on est en pénitence c’est dur, surtout quand le regard des autres est sur soi. Lorsque j’étais spectateur je posais mon regard sur les punis.

C’est seulement en 6ème que j’ai compris la honte qu’on pouvait ressentir dans cette situation.

Par : Paladin

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Ah ! Le déculottage… Vous avez raison de le souligner, c’est un moment essentiel d’une fessée.

À de très rares exceptions, j’ai toujours été déculotté. Les rares occasions en question étant lorsque des témoins étaient présents, ce que mes parents s’efforçaient d’éviter. En fait, à part devant mon frère, mon grand-père et bien évidemment mon père, je n’ai jamais été déculotté en public. Même ma mère n’a plus eu cet honneur après un certain âge. J’ai bien soupçonné deux copains d’avoir joué les voyeurs, mais je n’ai jamais pu le leur faire admettre.

À la maison, il n’y avait pas de rituel particulier, juste une sentence implacable : « allez, en tenue ! » (Papa était un pro de l’antiphrase), qui annonçait le début de la correction : tant qu’on avait encore quelque chose sur les fesses, on pouvait toujours plaider, supplier, promettre… Déculottés, il ne nous restait plus qu’à nous faire tanner.

Car quand on était puni, c’était toujours déculotté. Je ne sais pas si c’était pour Papa un moyen d’affirmer son autorité, de nous humilier, de rendre la correction plus douloureuse ou autre chose… Il y avait sans doute un peu de tout ça : en nous présentant devant notre géniteur comme au jour de notre naissance, Papa nous remettait à notre place. Puisque nous comportions comme des animaux, alors nous perdions le privilège de porter des vêtements. Et le tissu fin d’un petit slip blanc ne protégeait peut-être pas beaucoup face au martinet, mais ça restait une muraille psychologique malgré tout… Mais en fait, je crois que personne ne s’est vraiment posé la question. Le martinet, c’était déculotté. Point final.

Par : Jean-Paul

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Le déculottage, bien sûr !… Ce simple mot me renvoie quelques décennies en arrière… ces interminables déjeuners familiaux (fêtes, anniversaires…) lors desquels mon oncle Jean et mon père discutaient souvent de la meilleure méthode pour administrer une punition corporelle. Le déculottage était un préalable indispensable selon eux. En effet, ce type de châtiment était chez nous une tradition familiale bien établie et de toute évidence mon oncle et mon père y avaient été soumis avant nous, cousins, frères et moi-même…!
Pour mon oncle, c’est le père qui devait lui-même déculotter le garçon puni afin de bien affirmer son autorité. Pour mon père au contraire, c’était au garçon puni de baisser lui-même ses vêtements, reconnaissant en quelque sorte la gravité de sa faute la légitimité de la sanction. Gamin, il m’est arrivé de connaître les deux méthodes. Aujourd’hui comme hier, je reste persuadé que le déculottage est un moment essentiel de la punition et je tenais à apporter ce modeste témoignage familial.

Par : Jean Philippe

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Bonjour Nelly,
En lisant votre commentaire, je me reconnais parfaitement car j’étais aussi systématiquement déculotté par ma mère lorsque je recevais la fessée pour mes mensonges mon insolence. Vous pouvez lire mes récits dans  » Souvenirs et anecdotes ». Je mettais souvent mes mains sur ma braguette mais maman me claquait mes mains et baissait pantalon et slip avec dextérité et je recevais une fessée magistrale qui me coupait la respiration puis j’éclatais en sanglots sur les genoux maternels

Par : Julie

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Bonjour Nelly45,
Tout comme vous, le déculottage était systématique lors des fessées, et pas seulement le fait d’avoir la culotte aux genoux ou aux chevilles, mais le tout était retiré.
Lorsqu’il y avait correction, y compris à âge avancé, mes parents ne s’embarrassaient pas, le tout était retiré sur-le-champ et ça tombait ensuite, à la main, ou à la ceinture, selon la gravité des faits.
Amitié.
Julie

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