Le déculottage, quelle honte pour un puni !
De ce jour-là, je m’en souviens comme si c’était hier. En revenant du lycée avec ma mère où je venais de recevoir une fessée déculottée devant mes camarades car j’avais échoué au brevet des collèges, ma mère me donna une nouvelle correction à la maison, mais cette fois devant ma sœur Christine âgée de 12 ans.
À peine remis de mes émotions, elle me dit : » viens ici que je te déculotte et te fesse devant ta sœur ! »
Je la suppliai de ne pas le faire, mais sa déception face à mon échec était telle qu’elle fondit sur moi sans que je puisse faire quoi que ce soit pour l’empêcher de déboutonner mon jean puis de le baisser avec mon slip à mes chevilles.
En pensant à ma sœur qui assistait à mon déculottage, la honte de me retrouver cul nu devant elle tel un petit garçon de 5 ans alors que j’avais 14 ans me submergea. Et 5 ans était bien le cas car ma mère me renversa en travers de ses genoux comme un garçonnet. En m ‘affalant, j’aperçus le sourire de ma petite sœur me voyant dans cette humiliante position.
Je n’eus plus le temps de penser car la virulence des claques tombant sur mon derrière dénudé me fit crier pleurer et sangloter. Si ma mère voulait vraiment me punir pour mon échec au brevet avec cette seconde fessée déculottée c’était réussi ! Je crois que cette fois-là jamais je n’avais été déculotté aussi vite et, bien entendu, pas question de résister à ma mère quand elle avait décidé de me fesser.
Dois-je préciser qu’elle était enseignante (prof de gym) et que, par conséquent, cela ne pouvait que renforcer sa volonté de me faire à subir un châtiment exemplaire.
Jean Philippe
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Par : Jean Philippe
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